De l’automne 92 au printemps 93, la SCAM va presque tripler de taille. Composée alors d’une dizaine de dépôts, elle est approchée par la firme d’engrais ROSIER qui lui propose une fusion. Ce partenariat atypique entre une coopérative agricole et un industriel se met en place sous le nom de SCAMH-ROSALCO. Les coopérateurs restent maîtres de leur outil.
Rosier avait des participations dans de nombreux négoces agricoles pour distribuer ses engrais. Cette fusion permit donc à la SCAM de s’impliquer à Waremme, Milmort, Meux, Grez-Doiceau, Piétrebais, Jauche, Isnes, Fosses-la-Ville, Wagnelée, Houffalize, Givry et Solre-sur-Sambre.
Au mois de mars 1993, suite au rachat d’Interagri, le centre stratégique se déplace de Marchovelette à Seilles. Les dépôts retenus par la SCAM renforcent le réseau existant : Hamois, Ohey, Havelange, Lisogne, Saint-Séverin, Forville, Grand-Leez et Florennes. Le dépôt d’Interagri à Seilles devient le centre administratif de la SCAM, qui prend alors le nom de :
SOCIETE COOPERATIVE AGRICOLE DE LA MEUSE