Historique

Le berceau de la coopérative : 1956 – 1970


1956

En 1956, Jean Mailleux, entouré d’un noyau d’agriculteurs, fonde la SCAM : Société Coopérative de Marchovelette. Située à une vingtaine de kilomètres à l’est de Namur, la coopérative organise la collecte et le stockage de céréales.


1962

En 1962, le dynamisme de la SCAM attire l’attention des fermiers du Condroz qui intègrent la coopérative avec la création du dépôt de Natoye


1967

Quelques années plus tard, en 1967, la coopérative Saint Eloy de Vedrin rejoint également la coopérative.


L'ouverture à l'Est : 1970 – 1988


1968

La SCAM a un peu plus de 10 ans lorsque Jean Mailleux préconise une diversification par la fabrication des aliments du bétail. Pour les vendre et les livrer, la coopérative s’est ouverte à l’Est. L’équipe commerciale part à la conquête du Condroz, de la Famenne et des Ardennes.


1971

Reprise du moulin de Haillot.


1982

Construction du dépôt de Verlée.


1984

Acquisition des moulins de Beez.


1985

Reprise du négoce à Rossignol.


Un peu plus à l’Ouest : 1989 – 1991


1985-1989

A quelques kilomètres de la Meuse, Marchovelette est située entre la Hesbaye et le Condroz. A cette époque, la SCAM porte ses efforts vers des zones d’élevage. Fin des années 1980, les productions végétales gagnent en rentabilité : les coopérateurs installés en terres hesbignonnes interpellent la SCAM pour envisager une implantation vers l’Ouest.


1989

Reprise de la coopérative de Fleurus.


1991

Fusion avec la coopérative de Héron. La SCAM devient SCAM-H pour la continuité et devient davantage céréalière.


Le grand chambardement : 1992 – 1993


1992-1993

De l’automne 92 au printemps 93, la SCAM va presque tripler de taille. Composée alors d’une dizaine de dépôts, elle est approchée par la firme d’engrais ROSIER qui lui propose une fusion. Ce partenariat atypique entre une coopérative agricole et un industriel se met en place sous le nom de SCAMH-ROSALCO. Les coopérateurs restent maîtres de leur outil.
 
Rosier avait des participations dans de nombreux négoces agricoles pour distribuer ses engrais. Cette fusion permit donc à la SCAM de s’impliquer à Waremme, Milmort, Meux, Grez-Doiceau, Piétrebais, Jauche, Isnes, Fosses-la-Ville, Wagnelée, Houffalize, Givry et Solre-sur-Sambre.
 
Au mois de mars 1993, suite au rachat d’Interagri, le centre stratégique se déplace de Marchovelette à Seilles. Les dépôts retenus par la SCAM renforcent le réseau existant : Hamois, Ohey, Havelange, Lisogne, Saint-Séverin, Forville, Grand-Leez et Florennes. Le dépôt d’Interagri à Seilles devient le centre administratif de la SCAM, qui prend alors le nom de :
 

SOCIETE COOPERATIVE AGRICOLE DE LA MEUSE


Renforcement du réseau SCAM : 1994 – 2016


1996

Reprise du négoce Alsteen et du dépôt de Dion-le-Mont.


1998

Construction du dépôt d'Achène.


1999

En janvier 1999, la SCAM conclut un accord de reprise avec la société Semaille. Sa position stratégique complémentaire à l’Ouest renforce la densité du réseau de dépôts au centre de la Wallonie : Soignies, Nivelles, Anderlues, Givry, Baileux, Vieux-Genappe, Erbisoeul, Audregnies, Lens, Donstiennes, Rouveroy, Havinnes, Mignault et Frasnes-les-Gosselies.


2001

Participation à 80% dans l’entité « Les Silos de Floreffe ».


2002

Acquisition du hall de stockage de produits phytopharmaceutiques à Gembloux.


2003

Reprise du dépôt de Longlier.


2004

Reprise de Sarto et des trois dépôts à Sart-Saint-Laurent, Mettet et Farciennes.
La SCAM devient également propriétaire à 100% du site des Silos de Floreffe (reprise des 20% restants du site).


2010

Inauguration de la nouvelle usine de production d’aliments composés pour animaux d’élevage : Alia2. Située sur le site des Silos de Floreffe, l’usine est le fruit du joint-venture entre la SCAM et la société Vanden Avenne Ooigem (province de Flandre Occidentale).


2012

Démarrage de la station d’essai BEEF CENTER : 140 taureaux en essais permanents. 


2014

A l’occasion de la Foire de Libramont, la SCAM présente le premier Agridrone au service de l’agriculteur.


2015

La SCAM propose de nouveaux outils de traçabilité de production et de communication interactive entre l’agriculteur et son conseiller via leur logiciel AGREO Exploitants